Un des enjeux du management est de créer de la cohésion au sein du collectif, gage d’un mieux travailler ensemble.
Si cette intention ne peut être remise en cause, on peut s’interroger sur la méthode. Si les team building et autres évènements sociaux contribuent effectivement à cette cohésion, que disent ils en vrai ? quelle est leur véritable portée ? Les sourires du post linkedin seront-ils toujours là demain matin lors de la réunion d’attribution des ressources dans un contexte limité ?
Ces moments changent-ils vraiment le quotidien ? libèrent-t-ils la parole ou au contraire nourrissent ils aussi un peu plus l’incohérence et l’incompréhension présente entre les uns et les autres ?
Pouvons-nous challenger que ces moments existent pour compenser un manque de liens nourrissants au quotidien ? et que ce manque de liens vient de nos modes de pensées ?
Nous savons depuis quelques années maintenant que le monde qui nous entoure est un monde complexe et qu’il nécessite une pensée qui relie et non une pensée qui sépare.
Loin des méthodes et des promesses de solutions, nous n’avons pas d’autre choix que d’apprendre à pratiquer ensemble la pensée qui relie.
Si le team building nourrit le lien relationnel, il ne contribue pas au mieux réfléchir ensemble nécessaire à la réunion du lendemain. Ce n’est pas son intention.
La pensée complexe est exigeante, mais elle est par essence vivante et enthousiasmante … génératrice naturellement de compréhension, de cohérence et de cohésion.
… ce qui ne veut pas dire que les team building doivent disparaitre mais qu’ils ne sont plus là pour compenser et qu’ils retrouvent leur juste place de rituels nécessaires à la resynchronisation des activités humaines.
Un des enjeux du management est de créer de la cohésion au sein du collectif, gage d’un mieux travailler ensemble.
Si cette intention ne peut être remise en cause, on peut s’interroger sur la méthode. Si les team building et autres évènements sociaux contribuent effectivement à cette cohésion, que disent ils en vrai ? quelle est leur véritable portée ? Les sourires du post linkedin seront-ils toujours là demain matin lors de la réunion d’attribution des ressources dans un contexte limité ?
Ces moments changent-ils vraiment le quotidien ? libèrent-t-ils la parole ou au contraire nourrissent ils aussi un peu plus l’incohérence et l’incompréhension présente entre les uns et les autres ?
Pouvons-nous challenger que ces moments existent pour compenser un manque de liens nourrissants au quotidien ? et que ce manque de liens vient de nos modes de pensées ?
Nous savons depuis quelques années maintenant que le monde qui nous entoure est un monde complexe et qu’il nécessite une pensée qui relie et non une pensée qui sépare.
Loin des méthodes et des promesses de solutions, nous n’avons pas d’autre choix que d’apprendre à pratiquer ensemble la pensée qui relie.
D’Edgar Morin à Hartmut Rosa, nos scientifiques contemporains nous disent la même chose que les chamans de la forêt amazonienne ou que les amérindiens…qui dit vivant dit reliance, interconnections, interdépendance.
Si le team building nourrit le lien relationnel, il ne contribue pas au mieux réfléchir ensemble nécessaire à la réunion du lendemain. Ce n’est pas son intention.
La pensée complexe est exigeante, mais elle est par essence vivante et enthousiasmante … génératrice naturellement de compréhension, de cohérence et de cohésion.
… ce qui ne veut pas dire que les team building doivent disparaitre mais qu’ils ne sont plus là pour compenser et qu’ils retrouvent leur juste place de rituels nécessaires à la resynchronisation des activités humaines.