Et si à bien y regarder, les transformations que nous mettons en œuvre dans nos entreprises étaient des voies sans issues ? L’enjeu n’est plus dans la transformation mais dans la radicalité d’un nouveau, dans la RE-CREATION.
Il a été vu depuis quelques années maintenant que nous vivons actuellement un changement de paradigme. Les modes de pensées et les attentes évoluent. Les pressions environnementales et sociales amènent les entreprises à repenser leurs modèles culturels et économiques.
L’entreprise se met ainsi en marche pour répondre aux nouvelles aspirations individuelles de ses salariés et clients. Elles créent une Direction de la Transformation.
Une question que l’on peut se poser c’est « quel est le sens d’une transformation, à quoi ça sert ? ». Et la réponse est quelque chose comme : « Pour durer, il y a des choses qui sont OK et que nous pouvons garder et d’autres, qui ne sont plus OK que nous devons changer ». Partons de là, très bien.
D’où la question « Que se passe-t-il dans la nature quand quelque chose n’est plus adapté ? Et bien, nous le savons tous, ça meurt & la vie « repart » explorer, à partir de l’existant encore adapté, un nouveau, via son process d’essais et d’erreurs successifs.
Le point d’ajustement pour les transformations souhaitées c’est le mode de pensées sous jacent. Il y a presque inévitablement un « contre » au niveau psychologique qui se met en place entre les acteurs qui subissent et ceux qui conduisent la transformation.
L’égo de ceux qui subissent résiste naturellement à ceux qui viennent obliger, forcer une transformation. Et l’égo du transformateur qui arrive pour sauver le monde finira inévitablement persécuteur ou victime de cette résistance.
Ce « contre » n’existe pas dans la nature. Quand quelque chose n’est plus adaptée c’est une fin … suivie de l’émergence d’un nouveau.
L’enjeu n’est pas dans la transformation. L’enjeu est dans un nouveau, dans la vision de la prochaine exploration possible, dans une RE-CREATION.
A bien y regarder, transformer un passé n’a pas de sens. Au final cela entretient ce passé en nourrissant l’énergie « contre ». L’inverse de l’intention initiale.
L’enjeu n’est pas de transformer mais de reconnaitre la fin d’un cycle, de respecter ce passé pour ce qu’il a apporté et de se mettre à l’écoute de ce nouveau qui essaye d’émerger à partir de ce qui est toujours en vie.
C’est dans la radicalité d’un nouveau que le futur peut voir le jour.
PS 1 : L’étymologique de radicalité est : ce qui se rattache à la racine et qui est primordial. La radicalité ne signifie pas brutalité.
PS2 : si nous souhaitons véritablement nous inspirer du vivant, nous devons démystifier la nature. Par exemple, dans la nature ce qui n’est plus adapté meurt. C’est un fait.
Et si à bien y regarder, les transformations que nous mettons en œuvre dans nos entreprises étaient des voies sans issues ? L’enjeu n’est plus dans la transformation mais dans la radicalité d’un nouveau, dans la RE-CREATION.
Il a été vu depuis quelques années maintenant que nous vivons actuellement un changement de paradigme. Les modes de pensées et les attentes évoluent. Les pressions environnementales et sociales amènent les entreprises à repenser leurs modèles culturels et économiques.
L’entreprise se met ainsi en marche pour répondre aux nouvelles aspirations individuelles de ses salariés et clients. Elles créent une Direction de la Transformation.
Une question que l’on peut se poser c’est « quel est le sens d’une transformation, à quoi ça sert ? ». Et la réponse est quelque chose comme : « Pour durer, il y a des choses qui sont OK et que nous pouvons garder et d’autres, qui ne sont plus OK que nous devons changer ». Partons de là, très bien.
Léonard de Vinci aurait dit « Prends tes leçons dans la nature, c’est là qu’est ton futur ».
D’où la question « Que se passe-t-il dans la nature quand quelque chose n’est plus adapté ? Et bien, nous le savons tous, ça meurt & la vie « repart » explorer, à partir de l’existant encore adapté, un nouveau, via son process d’essais et d’erreurs successifs.
Le point d’ajustement pour les transformations souhaitées c’est le mode de pensées sous jacent. Il y a presque inévitablement un « contre » au niveau psychologique qui se met en place entre les acteurs qui subissent et ceux qui conduisent la transformation.
L’égo de ceux qui subissent résiste naturellement à ceux qui viennent obliger, forcer une transformation. Et l’égo du transformateur qui arrive pour sauver le monde finira inévitablement persécuteur ou victime de cette résistance.
Ce « contre » n’existe pas dans la nature. Quand quelque chose n’est plus adaptée c’est une fin … suivie de l’émergence d’un nouveau.
L’enjeu n’est pas dans la transformation. L’enjeu est dans un nouveau, dans la vision de la prochaine exploration possible, dans une RE-CREATION.
A bien y regarder, transformer un passé n’a pas de sens. Au final cela entretient ce passé en nourrissant l’énergie « contre ». L’inverse de l’intention initiale.
L’enjeu n’est pas de transformer mais de reconnaitre la fin d’un cycle, de respecter ce passé pour ce qu’il a apporté et de se mettre à l’écoute de ce nouveau qui essaye d’émerger à partir de ce qui est toujours en vie.
C’est dans la radicalité d’un nouveau que le futur peut voir le jour.
PS 1 : L’étymologique de radicalité est : ce qui se rattache à la racine et qui est primordial. La radicalité ne signifie pas brutalité.
PS2 : si nous souhaitons véritablement nous inspirer du vivant, nous devons démystifier la nature. Par exemple, dans la nature ce qui n’est plus adapté meurt. C’est un fait.